Courir me procure ce sentiment si beau et si rare de faire partie de ce monde sans vraiment en ressentir les contraintes, les barrières, les frontières.
Je cours, je vois tout, je ressens tout et rien ne m’arrête vraiment.
C’est bien bon de vivre un peu l’ivresse de la liberté, de celle que l’on rencontre aussi parfois dans la montagne.
Alpinisme et course à pied ont en tous cas cette liberté semblable.